Infos patron :

Le « NO Comment » 3.0 se positionne clairement comme le club libertin le plus haut de gamme de la capitale. Une adresse chic et raffinée située au coeur du triangle d'or, à 1min à pieds des Champs Elysées. Un lieu qui convient aux couples chics, aux épicuriens à la recherche de sensations nouvelles et d’originalité, aux libertins assumés ou non, aux débutants, aux amants endiablés et aux amoureux des nuits parisiennes. A l'étage, son restaurant festif et son bar lounge ouvert toute la nuit. Au sous sol, le club libertin. - Le restaurant est plongé dans une ambiance feutrée, un décor intimiste et une ambiance musicale et festive. Une possibilité pour les plus timides, les novices ou les curieux de prendre le temps de réfléchir autour d'un verre ou d'un dîner, avant d'envisager (ou non) de franchir le cap et descendre au club. - Les plus audacieux franchiront donc les portes du Club. (Love-rooms, espace bar, dance-floor, salle de douche, fumoir sexy...).

Description :

Situé dans le Triangle d’or parisien, à proximité des Champs-Élysées, le No Comment allie héritage historique et ambiance contemporaine. Le club, réputé pour son passé libertin, attire une clientèle jeune et chic, oscillant entre noctambules mainstream et adeptes de soirées plus intimistes. L’établissement se structure sur deux niveaux : un restaurant-bar lounge à l’étage, au décor feutré et musicalité festive, permet une transition douce vers le sous-sol dédié au club libertin. Celui-ci propose une piste de danse, des love-rooms, un espace bar, une salle de douche et un fumoir, le tout dans une atmosphère volontairement secrète, mêlant lumière tamisée et zones d’ombre.

Ouvert les week-ends jusqu’à 4 heures du matin, l’accès au club nécessite une entrée payante (80 €) et un vestiaire supplémentaire (6 €). Les retours soulignent une propreté inégale dans les espaces intimes, avec des sanitaires parfois négligés, ainsi qu’une musique forte pouvant altérer l’expérience. Si certains apprécient l’ambiance dynamique et l’accueil courtois, d’autres regrettent la transition vers un club conventionnel en fin de nuit, tempérant ainsi son identité libertine initiale.